samedi 31 décembre 2011
mercredi 28 décembre 2011
dimanche 25 décembre 2011
samedi 24 décembre 2011
mercredi 21 décembre 2011
lundi 19 décembre 2011
vendredi 16 décembre 2011
Daniel Darc : J'irai au Paradis
lundi 12 décembre 2011
mercredi 7 décembre 2011
lundi 5 décembre 2011
dimanche 4 décembre 2011
vendredi 2 décembre 2011
lundi 28 novembre 2011
lundi 28 novembre 2011
mercredi 23 novembre 2011
mardi 22 novembre 2011
Danielle Mitterrand - 1924/2011
dimanche 20 novembre 2011
vendredi 18 novembre 2011
jeudi 17 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
mardi 15 novembre 2011
Calacas - Zingaro
dimanche 13 novembre 2011
vendredi 11 novembre 2011
mardi 8 novembre 2011
samedi 5 novembre 2011
KOLIA de Perrin Leblanc
mercredi 2 novembre 2011
mardi 1 novembre 2011
mercredi 26 octobre 2011
mardi 18 octobre 2011
lundi 17 octobre 2011
Olivia Louvel, ō, Music For Haïku
dimanche 16 octobre 2011
samedi 15 octobre 2011
lundi 10 octobre 2011
lundi 3 octobre 2011
samedi 3 septembre 2011
septembre 2011
mardi 30 août 2011
vendredi 26 août 2011
lundi 22 août 2011
A dream within a dream
samedi 20 août 2011
mercredi 17 août 2011
Dans le secret des miroirs
"Elle ne s'appartient pas, rien ne va avec rien -ses cheveux, son sourire, sa voix, sa démarche, son pull, ses chaussures... Tout a été assemblé au hasard, et je sens la possibilité immédiate que tout -cheveux, démarche, membres, chaussettes militaires -, oui tout s'envole. Laissant quoi ? Peut-être juste le sourire."
Irvin Yalom
mardi 16 août 2011
dimanche 14 août 2011
vendredi 12 août 2011
mercredi 10 août 2011
mardi 9 août 2011
dimanche 7 août 2011
jeudi 4 août 2011
mardi 2 août 2011
mercredi 27 juillet 2011
björk - crystalline
written by björk.
published by universal music publishing ltd.
® 2011 björk overseas ltd/one little indian records ltd.
mardi 26 juillet 2011
mercredi 20 juillet 2011
mardi 19 juillet 2011
dimanche 17 juillet 2011
vendredi 15 juillet 2011
mercredi 13 juillet 2011
Ce que je veux comprendre ?
La mort d'un million de fourmis.
Je veux comprendre la mort à Hiroshima.
Ce que je veux comprendre ?
La mort de mon enfant.
Je veux comprendre la mort de ma mère et la mort de mon père et...
je veux comprendre l'amour.
Je lève mon bras... Voici ma danse.
Rien que ça ?
Oui... rien que ça (...)
mardi 12 juillet 2011
dimanche 10 juillet 2011
Le Rêve d'un Curieux
Connais-tu, comme moi, la douleur savoureuse,
Et de toi fais-tu dire : "Oh ! l'homme singulier !"
- J'allais mourir. C'était dans mon âme amoureuse,
Désir mêlé d'horreur, un mal particulier ;
Angoisse et vif espoir, sans humeur factieuse.
Plus allait se vidant le fatal sablier,
Plus ma torture était âpre et délicieuse ;
Tout mon coeur s'arrachait au monde familier.
J'étais comme l'enfant avide du spectacle,
Haïssant le rideau comme on hait un obstacle...
Enfin la vérité froide se révéla :
J'étais mort sans surprise, et la terrible aurore
M'enveloppait. - Eh quoi ! n'est-ce donc que cela ?
La toile était levée et j'attendais encore.
Charles Baudelaire
mardi 5 juillet 2011
lundi 4 juillet 2011
dimanche 3 juillet 2011
mercredi 29 juin 2011
lundi 27 juin 2011
© kOLya bUtō
Le bUtō, Butoh ou Ankoku Butoh "Danse des ténèbres", est une danse d'avant-garde inventée par Tatsumi Hijikata dans le Japon underground de 1959. Révolutionnaire, le bUtō voulait changer de nombreuses idées esthétiques et conservatrices et bousculer violemment l'establishment. Dans sa forme le bUtō s'opposait fortement à l'influence occidentale du ballet classique et de la danse moderne rnais aussi aux formes artistiques traditionnelles du Japon comme le Nô ou le Kabuki. Cette danse moderne provoqua un véritable choc, surgissant 14 ans après Hiroshima et Nagasaki, 14 ans après le traumatisme de la défaite de 1945 qui fut vécu comme un cataclysme politique, économique, social et culturel. Cette défaite, la première du Japon dans son histoire, l'a obligé à s'ouvrir en grand au monde occidental mais cela ne se fit pas sans mal, les deux mondes étant trop différents. Le mouvement de la « danse des ténèbres » préfigurait le soulèvement de la jeunesse japonaise contre les excès de cette influence, surtout américaine, subie pendant plus de 10 ans. Ce soulèvement social révélait un désespoir profond, le peuple japonais se sentait toujours envahi, déraciné, humilié et devait renouer avec ses ancêtres, avec son histoire profonde. Le butô devenait même une protestation contre le modernisme.
En quarante ans le bUtō révolutionnaire, dadaïste, marginal, s’est diversifié et a acquis une certaine reconnaissance à l'étranger avec notamment Carlotta Ikeda et Sankai Juku. Le statut du bUtō est donc maintenant ambigüe car s'il est reconnu à l'étranger, cela fait plus de 20 ans que Sankai Juku joue à Paris, il reste confidentiel au Japon et mal connu. Le bUtō n'échappa pas à un certain effet de mode de la part des européens et américains; aujourd'hui encore le japon fascine même s'il est difficile pour nous autres français de comprendre ce qui fonde ce pays. Dans les années 80 on assista à l'apparition du post-bUtō dans lequel les mouvements, résolument contemporains, expriment une révolte nouvelle.
Le bUtō, de Bu "la danse" et de To "fouler le sol" permet de communiquer avec la terre, les ténèbres, les forces cachées qui nous entourent, résidentes d'un univers parallèlle, tapies dans les profondeurs de la nuit. C’est un appel aux forces de l’au-delà. Il dévoile le caché, la mémoire ancestrale, ce qu'on appelle l'archéomémoire. C’est une danse qui relie la Mort à la Vie, un passage perpétuel du Néant à la Vie et de la Vie au Néant. La métamorphose de ces états est retranscrite par une lenteur extrême des mouvements, un dépouillement total de la Forme pour arriver à l’Etre profond. On dit souvent que le bUtō, c’est frapper ou griffer le sol du pied pour en faire jaillir les esprits, sortis de la Terre-mère, grande enfouisseuse de nos ancêtres. Les mots qui peuvent définir le bUtō : transe, lucidité, folie blanche, extase, gros plans de visages grimaçants, postures grotesques, corps blanchis, collection de difformités exotiques et inquiétantes.
Le bUtō est aussi l'expression de la nostalgie de la fusion terminée de l'homme et de la nature, du féminin et du masculin, de cette nostalgie dont on se souvient et qui fait souffrir.
Je ne saurai être sans bUtō (...)
dimanche 26 juin 2011
samedi 25 juin 2011
jeudi 23 juin 2011
mardi 21 juin 2011
FUCK
vendredi 17 juin 2011
jeudi 16 juin 2011
Schiele proposait modestement "un échange de dessin", pensant naïvement qu'il aurait bien offert plusieurs de ses dessins contre un seul de Klimt. Klimt lui répond : "Pourquoi diable voulez-vous faire un échange de dessins ? Vous dessinez bien mieux que moi ...", et accepte bien volontiers la propositions de Schiele.
dimanche 12 juin 2011
dimanche 5 juin 2011
Comme il n'en existe qu'à Vienne
Me loge et dans ma chambre
Tombent de pourpre et d'ambre
De lourdes tentures de soies
C'est beau à travers les persiennes
Je vois l'église Saint-Etienne
Et quand le soir se pose
C'est bleu, c'est gris, c'est mauve
Et la nuit par-dessus les toits
Que c'est beau Vienne
Que c'est beau Vienne ...
samedi 4 juin 2011
jeudi 2 juin 2011
mardi 31 mai 2011
lundi 30 mai 2011
samedi 28 mai 2011
mercredi 25 mai 2011
mardi 24 mai 2011
les lèvres un peu gercées ...
dimanche 22 mai 2011
jeudi 19 mai 2011
lueur d'enfermement
lundi 16 mai 2011
dimanche 15 mai 2011
dimanche 8 mai 2011
# vanité #
vidéo photo-graphic by kOLya
basé sur la collaboration photographique
Hann Reverdy + kOLya
© 2011
samedi 7 mai 2011
jeudi 5 mai 2011
mardi 3 mai 2011
18 ans
18 ans que je jouis de votre présence,
et construis ma vie (notre vie) en toute insouciance... merci
dimanche 1 mai 2011
vendredi 29 avril 2011
A Japanese Cherry Tree Blossom
© kOLya by Nanoo G.
Artwork based on a KOLya's picture.
http://nanoo-g.blogspot.co