mardi 26 juin 2012

Mes tableaux sont sans objet ; mais comme tout objet, ils sont l’objet d’eux-mêmes. Ils n’ont par conséquent ni contenu, ni signification, ni sens ; ils sont comme les choses, les arbres, les animaux, les hommes ou les jours qui, eux aussi n’ont ni raison d’être, ni fin, ni but. Voilà quel est l’enjeu.

Gerhard Richter

dimanche 24 juin 2012

© kOLya


Les maîtres ☆ du désordre
Quai Branly Paris / 2012

Dans la plupart des cultures, des traditions mettent en scène des forces contraires qui se disputent le monde en un combat nécessaire et sans fin. Tout ordre, y compris l’ordre divin, est fondamentalement imparfait, limité, menacé d’implosion. Cette conscience du désordre semble être commune à toute civilisation et les forces perturbatrices, nécessaires à l’équilibre de l’univers et à sa continuité.

Exposition du 11 AVRIL AU 29 JUILLET 2012


lundi 18 juin 2012

You could be my unintended choice
To live my life extended
You could be the one I'll always love

You could be the one who listens
To my deepest inquisitions
You could be the one I'll always lov ... MUSE

jeudi 14 juin 2012

© Kiki Smith


il n'y a pas de moment plus inacceptable lorsqu'on apprend qu'une personne qu'on aime est tombée malade ... je pense à M.... très fort

lundi 11 juin 2012

mercredi 6 juin 2012


Godard

1- Il faut faire des films politiques.
2- Il faut faire politiquement des films.
3- 1 et 2 sont antagonistes, et appartiennent à deux conceptions du monde opposées.
4- 1 appartient à la conception idéaliste et métaphysique du monde.
5- 2 appartient à la conception marxiste et dialectique du monde.
6- Le marxisme lutte contre l'idéalisme, et la dialectique contre la métaphysique.
7- Cette lutte, c'est la lutte de l'ancien et du nouveau, la lutte des idées nouvelles et des anciennes.

Jean-Luc Godard

dimanche 3 juin 2012

© kOLya by Lou Stein


K. avait sans doute contemplé longtemps cette belle vision immuable et triste mais il s'était certainement endormi car lorsqu'il sursauta, réveillé par une voix puissante, sa tête reposait contre l'épaule du vieil homme à côté de lui (...)

Franz Kafka - Le château