"Mon très cher papa
Cette fois, c'est fini; à huit heures, je serai fusillé... Je n'ai pas peur de mourir, mais je crains pour vous que j'aime tant... Encore une fois, merci, mon cher papa, pour tout ce que tu as tenté pour moi. J'ai l'impression qu'on a été très sévère avec moi. Mais je mourrai bravement, sois en assuré..."
Bernard Courtault, Mont-Valérien, 3 novembre 1943
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